Raphaël est connu au Circus pour être le gars " bien " par excellence. Il est toujours calme, attentionné, gentleman, gentil avec tout le monde, il n'est pas vaniteux et respecte ses collègues de travail. C'est un garçon enthousiaste. Il a un sens de l'humour particulièrement mordant et manie avec une certaine dextérité le sarcasme et l'humour noir. Sa plus grande qualité reste néanmoins la loyauté. Il aime ce qu'il fait depuis une éternité et c'est le cas de le dire. Depuis sa plus tendre enfance il à toujours eut une attirance inexplicable pour le monde du cirque. Et plus encore en ce qui concerne les animaux. C'est l'ami des bêtes. Il les aiment et ils le lui rendent bien. Malgré son côté baba cool, Raphaël n'est pas un ange non plus. Il n'est pas agréable de le fréquenter lorsqu'il est de mauvaise humeur. Il déteste les mensonges et les moqueries. Il a également une repartie à couper aux couteaux et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Il est plutôt lunatique, il peut passer de la joie à la colère en un quart de seconde pour une raison x ou y. Son côté aimable n'est qu'une façade qu'il s'est forgé au fil des années afin de cacher ses problèmes et le véritable fond de sa pensée même si c'est un garçon très franc en général.

Hey salut les petits loups, dans la vraie vie on m'appelle Romane et sur le net je me fais appeler B-STREET j'ai 17 ans et je viens du Nord de la France. Je trouve votre forum incroyable et je serais présent(e) 6j/7j. Le visage de mon personnage appartient à Robert Pattinson et je remercie Bazzart pour l'avatar.

Notre cirque n'est pas un cirque ordinaire. Vous y croiserez les mêmes activités. Les mêmes artistes. Trapéziste, danseurs, acrobates, dompteurs, clowns. Mais si vous grattez un peu sous la surface, vous comprendrez que le cirque Circus est unique en son genre. Voici mon histoire Je suis maudit. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis maudit. Depuis des siècles. Parce que j'aime mon métier. Parce que je fais partie de ce cirque. Pour une raison que j'ignore, nous avons tous était maudit parce que nous travaillons au Circus. Certains au départ ont cherchait à savoir la raison de cette malédiction, pourquoi nous étions condamnés à arpenter cette terre jusqu'à ce que le sort soit brisé. Condamnés à ne plus vieillir, à ne plus mourir, à ne plus évoluer. Cela faisait une éternité que toute l'équipe du Circus avait été privé de la mortalité. Et puis d'autres, comme moi, à force de ne trouver aucune réponses avait finit par abandonner le combat et s'était résigné à cette insignifiante existence. Nous n'avions jamais osé imaginé que d'autre chose avait évolué alors que nous avions cessé d'essayé. Les choses avaient changés. Le cirque touchait la terre tous les 10 ans. Seulement tous les 10 ans. L'occasion idéale pour offrir aux habitants de ce monde le spectacle le plus fantasmagorique de tous les temps. Nous avions enfin l'occasion de prouver notre valeur, de faire ce pourquoi nous avions perdu notre humanité. Et puis en un tour de main, nous avions disparut. Le cirque avait était remonté dans les wagons et nous errions ci et là. Dans des mondes différents, hors de portée. Au fil du temps nous avions appris à apprécier ces passages éclairs sur le sol humain. Un moyen pour nous de revivre malgré tout. Nous n'étions qu'une illusion, un cirque fantôme. La fatalité était tel qu'au bout d'un siècle, tous les employés du cirque Circus avait appris à vivre différemment. Ils avaient acceptés leurs différences, leurs destins, aussi tragique soit-il. Nous avions baissés les bras puisqu'il n'y avait rien à faire pour arranger les choses. J'ouvris les yeux dans mon lit. Je contemplais sans vraiment le voir le plafond de ma caravane tatoué de milliers de couleurs. Un chapiteau entier s'étendait sous mes yeux mais je ne voyais rien. April remua et posa sa tête sur mon torse. Inconsciemment j'enroulais mon bras autour de sa taille, caressant sa peau douce comme de la soie. J'avais beau désespéré je savais que je n'étais pas si malchanceux que ça. J'étais maudit mais nous l'étions tous les deux. Je n'étais plus seul depuis que je l'avais trouvé. Dans mon souvenir je me revis il y a quelque siècles de cela lorsque Zach avait disparut. Je venais de rentrer Rosie dans sa cage après ses exercices de l'après-midi. Heureux comme un pape, comme à chaque fois que je passais du temps avec mes animaux. Zach était en quelque sorte mon meilleur ami. Il était né clown. Il en avait fait son métier. Comme tous les soirs j'étais allait le voir avant le spectacle dans sa roulotte « Zach, t'es prêt ? » criais-je en ouvrant la porte. Il était présent à son poste, entrain de s'asperger le visage de sa poudre blanche. Son grand sourire de rouge à lèvre se tourna vers moi et il hocha lentement la tête. « J'enfile ma patate et je suis ton homme » murmura-t-il en réajustant son maquillage. Je secouais la tête en levant les yeux au ciel. Il avait surnommé son gros nez rouge ' patate ', plus originale selon lui. Ouais, bon. Nous sortîmes tous les deux, côte à côte. Nous croisâmes quelque membres de la parade. Il était bientôt l'heure. Moins de 10 minutes. « Raph » murmura Zach en tournant son visage vers moi. « Hum ? » murmurais-je les mains dans les poches, scrutant les alentours. « Tu penses que le numéro du clown se faisant emprisonner dans sa cage par son chien est trop... trop ? Enfin tu vois ce que je veux dire. J'ai du mal à imaginer de nouveaux numéros. L'humour des humains est tellement changeant..» J'étais bien d'accord avec lui. Je croisais le même reflet depuis des siècles dans le miroir. Les vêtements que nous portions étaient différents. Il fallait bien suivre les nouvelles modes. Mais dehors, alors que la normalité règne en maître il n'y avait plus rien de semblable. A chaque apparition nous étions surpris par l'apparence de notre public, par leur mentalité, leur caractère. Tout était différent. Toujours. C'était mieux ainsi. Cela nous forcé à changer un minimum nous aussi. « Le public change mais ce n'est pas avec les adultes que tu dois faire tes preuves. Les enfants restent des enfants. Voir un petit chien enfermer son propre maître dans sa propre cage les fera rire. Asperge toi de tarte à la meringue et je suis sur que la moitié de l'audience se pissera dessus. » répondis-je en faisant claquer sa patate contre son nez. Il grimaça mais se força à ne pas réagir. Je l'avais convaincu. C'était ce qu'il y avait bien avec Zach, il n'était pas assommant. Nous n'avions pas forcément besoin de parler pour nous comprendre. « Ouais ! » s'exclama-t-il en s'éloignant lorsque le son des trompettes retentit, signifiant qu'il était temps pour lui d'entrer en scène. Je me détournais du chapiteau, me dirigeant lentement vers celui des animaux. « EH ! Raphaël ! » entendis-je dans mon dos. Je me retournais, fronçant les sourcils alors que Zach courait en marche arrière. « Ne m'attend pas après le spectacle. Je suis en rupture de stock de Nicotine. Je vais en ville » Je lui fit un signe de main avec un léger sourire. Réponse basique. Je ne savais pas alors que c'était la dernière fois que je le voyais. Il était partie en ville et nous ne l'avions jamais revu. Ce n'est que lorsque nous avions compris qu'il ne fallait pas s'éloigner du cirque après minuit que nous avions enfin sut pourquoi Zach n'étais jamais revenu. J'avais était dévasté par sa perte et c'était April qui m'avait aidé à remonter la pente. Depuis, je me contentais de faire mon boulot, d'aimer ma fiancé, d'aimer mon métier, de chouchouter mes animaux. Que pouvais-je bien faire d'autre ? Oui, je suis maudit.

Mon existence avant de travailler au Circus n'est pas ce qu'il à a de plus excitant. J'étais un ado calme mais pas vraiment un intello. J'étais bon sans avoir à plonger la tête dans les bouquins des heures durant. Je suis né à Silver Bow, un petit village agréable perdu dans la campagne. C'est un petit paradis pour les amoureux de la nature sauvage, de la nature à l'état brut. J'avais passé la plupart de mon enfance dans les écuries. J'avais mon propre cheval, un magnifique pur sang arabe aussi noir que les ailes d'un corbeau. Et bien entendu, le cirque Circus avait toujours était ma maison. Mes parents y avaient toujours travaillés. Ma mère en tant qu'étoile du cirque, c'était une danseuse accomplie. Mon père quant à lui est sûrement celui qui m'a offert son amour des animaux. Il était dompteur. Une tradition de père en fils. Cette première n'a pas sauté une génération : j'étais devenu dompteur à mon tour dès que mon âge l'avait permis. Mon cheval avait trouvé sa place dans le Circus et il était devenu une vedette comme ces autres congénères. J'ai eu une enfance heureuse. Je n'avais jamais souffert de l'ennui d'une vie monotone. Je m'étais enfermé dans une routine qui au final, en y réfléchissant bien n'en était pas une. Je vivais pour ma passion, rien que pour elle. Je ne pensais pas pouvoir être plus heureux mais elle était apparue. April. Elle n'était qu'une enfant lorsque je l'avais aperçue suspendue au dessus du sol pour la première fois. Nous étions ensemble depuis 2 ans maintenant. Je ne l'avais jamais quitté depuis. Un an plus tard je l'avais demandé en fiançailles, parce que ça semblait la meilleure chose à faire. Ma vie avait pris un autre tournant lorsque j'avais rencontre Diamante. Elle était ma meilleure amie, ma confidente préférée. La personne que je chérissais le plus sur cette terre avec April. Elle était en quelque sorte mon ange gardien, il n'y avait pas de Diamante sans Raphaël. Mais depuis quelque temps, je ne sais plus vraiment ce que je suis censé faire. J'aime April mais... je ne m'explique toujours pas le fourmillement que je ressens à chaque fois que Diamante pose ses yeux sur moi. Malgré la malédiction, je suis vivant. Oui, mais pour combien de temps ?

je te félicite tu es officiellement validé. Tu peux dès à présent te rendre ici afin de recenser ton avatar. Et surtout n'oublie pas de poster ta fiche de lien. et t'éclater en rp et dans le flood.